Depuis longtemps, j'ai un particulier
attachement pour l'œuvre de François Augiéras. J'ai souvent eu
l'occasion d'en parler et de décrire ses ouvrages majeurs
(cliquez-ici). Ces derniers jours, profitant des vacances, j'ai voulu
pour ainsi dire incarner un peu plus ma passion pour l'œuvre en
allant sur les traces de l'auteur. Certes, je sais l'aspect dérisoire
de penser que l'on se sent un peu plus proche d'un auteur en allant
simplement voir et fouler les lieux qu'il a parcourus. Néanmoins,
portant en moi ce qu'il représente pour moi, penser que les lieux
que j'ai visités sont aussi ceux qu'il a connus, a donné en même
temps plus d'épaisseur et d'incarnation à ce que je voyais et plus
d'humanité et de proximité avec l'auteur.
C'est ainsi que nous sommes allés à
Domme et, plus particulièrement, sur sa tombe. Je ne saurais décrire
la forme d'émotion qu'il y a voir et toucher, car j'ai voulu toucher
sa pierre tombale et ajouter une pierre à sa modeste sépulture.
J'ai demandé à mon ami qu'il immortalise ce moment. Il y a un mélange de
naïveté et d'émotion à faire cela.
Nous sommes aussi allés aux Eyzies, au bord de la Vézère. Tout cela a dû beaucoup changer, preuve de la perte de l'enchantement du monde dans lequel nous vivons (cette perte d'enchantement est probablement un des événements majeurs de notre époque. Pourrons-nous en revenir ? Je l'espère).
Hier soir à
Périgueux, nous sommes allés voir le 14 rue du Palais où il a si longtemps vécu avec
sa mère.
Sans parler d'une belle rencontre hier
après-midi à Périgueux, avec un libraire avec qui j'ai pu très
longuement parler et échanger sur Augiéras.
On me demandait comment j'ai connu
François Augiéras. C'est cet article du Monde, paru en 1995, qui
m'a fait connaître L'apprenti sorcier.
Cela reste mon livre fétiche, dont j'ai parlé ici même (L'apprenti sorcier). C'est ainsi ce mélange de hasard, d'attention et de curiosité qui m'a ensuite amené à découvrir plus en avant son œuvre.
Pour finir, lever de soleil sur la cathédrale de Périgueux ce matin :
Cela reste mon livre fétiche, dont j'ai parlé ici même (L'apprenti sorcier). C'est ainsi ce mélange de hasard, d'attention et de curiosité qui m'a ensuite amené à découvrir plus en avant son œuvre.
Pour finir, lever de soleil sur la cathédrale de Périgueux ce matin :
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