Un exposition qui donne envie d'aller jusqu'à Nemours.
On y voit ce dessin de Gustave Doré : Le Néophyte. On peut se demander comment se sent ce jeune homme sensible au milieu de tous ces vieillards décatis :
http://www.nemours.fr/culture-et-sport/le-chateau-musee
Adam, Rhin supérieur, première moitié du XVIe siècle :
Amateur de beaux livres, passionné par la culture homosexuelle, je partage ma passion sur ce blog. Je propose une promenade au sein d'une bibliothèque personnelle, en espérant que cela créera de l'échange et fera découvrir à certains la richesse de la culture littéraire homosexuelle. J'espère vous offrir de nombreuses découvertes dans l'immense continent de la littérature et de l'histoire homosexuelles, notre patrimoine commun.
Lorsque l'amour des livres rencontre l'amour des garçons !
mercredi 27 septembre 2017
dimanche 10 septembre 2017
Glanes
Pour répondre à Silvano qui s’interroge sur mon silence depuis mon dernier message (merci pour cette sollicitude), je vous présente ces quelques trouvailles glanées au gré de mes pérégrinations sur la toile. Certes, ce n'est pas une notice sur une oeuvre littéraire, ou autre trouvaille en relation, mais certains engagements tant professionnels que personnels me laissent moins de loisir pour mener à bien les quelques messages que j'ai en réserve, que ce soit sur Maurice Sachs, Augiéras, voire d'autres écrivains amis de nos passions privées.
En attendant, ce magnifique athlète de Rembrandt Bugatti.
Le cri ou Athlète nu assis, 1907
Rembrandt BUGATTI (1884-1916)
Narcisse ou Ephèbe
Attribué à l’atelier de Barthélémy Prieur (1536-1611)
Attribué à l’atelier de Barthélémy Prieur (1536-1611)
Statuette en bronze à patine brune et socle en bois noirci (H. 25 cm)
Notice catalogue :
"Cette œuvre réalisée par l’atelier du Barthélémy Prieur est directement inspirée de l’Esclave mourant de Michelangelo (1475-1564) ( conservé au musée du Louvre) apporté en France et présenté au roi François 1er en 1546. Après un début de carrière en Italie, à Rome et à Turin, Barthélémy Prieur, de retour en France, devient le sculpteur officiel du roi Henri IV, pour lequel il réalise un grand nombre de statuettes en bronze inspirées à la fois des modèles antiques et des travaux de l’Ecole de Fontainebleau de la seconde moitié du XVIème siècle. Une vingtaine de bronzes de Narcisse est répertoriée, dont l’un conservé à la Wallace Collection à Londres".